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L'espace d'un Instant !

22 juin 2010

discours de Jiddu Khrisnamurti datant de 1929...

discours de Jiddu Khrisnamurti datant de 1929...  tellement intemporel !

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17 juin 2010

LES AMITIÉS CÉLESTES

LES AMITIÉS CÉLESTES


17 juin 2010

LA PLEINE SOLITUDE

LA PLEINE SOLITUDE

17 juin 2010

Quelle différence faire entre le psychologique et

Quelle différence faire entre le psychologique et le spirituel ?


17 juin 2010

La Puissance du Cœur ou Le Cœur conscience !

La Puissance du Cœur ou Le Cœur conscience !  Jacqueline Kelen


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22 janvier 2010

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                               Signification du drapeau Bouddhiste


Il est à dominante bleu-jaune-rouge-blanc-orange bandes verticales, chaque 1 / 6 de la distance du treuil. La sixième bande est composée de 5 bandes horizontales de même couleur à partir du haut. La 5 bande droite orange fusionne avec la bande orange en bas horizontal.

C'est le drapeau décrite sur la carte publiée par FLAG Shipmate et authentifié par le Centre de recherche du pavillon.William Grimes-Wyatt 22 Janvier 1996

Signification du drapeau

Le drapeau bouddhique, tout d'abord hissé en 1885 au Sri Lanka, est un symbole de foi et de paix utilisée dans le monde entier pour représenter la foi bouddhiste.

Les six couleurs du drapeau représentent les couleurs de l'aura qui émanait du corps du Bouddha quand il atteint l'illumination sous l'arbre Bodhi.

Les rayures horizontales représentent les races du monde vivant dans l'harmonie et les rayures verticales représentent la paix mondiale éternelle.

Les couleurs symbolisent la perfection de Bouddha et le Dharma.

  •  La lumière bleue qui émanait de cheveux du Bouddha, symbolise l'esprit de compassion universelle pour tous les êtres;
  • La lumière jaune qui a rayonné à partir d'épiderme du Bouddha symbolise la Voie du Milieu qui évite tous les extrêmes et amène l'équilibre et de libération.
  •  La lumière rouge qui a rayonné à partir de chair du Bouddha symbolise les bienfaits que la pratique de l'enseignement du Bouddha apporte.
  • La lumière blanche qui a rayonné à partir d'os du Bouddha et des dents symbolise la pureté de l'enseignement de Bouddha et de la libération qu'il leur apporte.
  • La lumière orange qui a rayonné à partir des pieds du Bouddha, les talons et les lèvres symbolise la sagesse inébranlable de l'enseignement du Bouddha.
  •  La combinaison de couleur symbolise l'universalité de la vérité de l'enseignement du Bouddha.

Par conséquent, l'ensemble représente que peu importe la race, la nationalité, la scission ou la couleur, tous les êtres vivants possèdent le potentiel de l'état de Bouddha. À partir de http://www.geocities.com/Athens/Ithaca/4886/flag.htm, Située en bordure Dov Gutterman9 Avril 1999

Beaucoup de gens, y compris les bouddhistes, croient que leur drapeau remonte à l'époque de Dutugamunu (IIe siècle avant J.-C.). En fait, le drapeau a été inventé en 1880 par un journaliste américain, le colonel Henry Steele Olcott. Olcott était un personnage fascinant. Un ancien soldat et avocat, il a créé la Société Théosophique

La société théosophique bouddhiste a conçu un catéchisme bouddhiste, encouragé versions bouddhistes de chants de Noël et les cartes, et inspiré la création d'écoles et les bouddhistes et YMBA - The Young Mens Association bouddhiste. Il existe six couleurs du drapeau, mais l'œil humain peut voir que cinq. de New York. Il est arrivé au Sri Lanka avec la célèbre spirite Madame Blavatsky, le 17 Février 1880 - une journée qui a ensuite été célébrée comme Olcott Day in Sri Lanka indépendante.

Ces drapeaux sont décrits dans les Écritures comme émanant de l'aura autour de la tête du Bouddha. Il ya 5 bandes verticales de couleur rouge, jaune, bleu, blanc et orange. La couleur sixième est un composé de la première tranche de 5, mais pour les fins de la conception de ses cinq ingrédients sont tous présentés en petites bandes horizontales à la volée.

source : http://www.fotw.net/flags/buddhism.html#mean

 

4 juin 2007

Journal d'une agonie Disparue le 4 avril 2007, la

Journal d'une agonie

Disparue le 4 avril 2007, la romancière française avait tenu un journal où l'allégresse est plus forte que la souffrance

Elle était née en 1943 à Marseille, mais elle voulait une « Mort viennoise ». A l'aube du 4 avril, Christiane Singer s'est éteinte dans un hôpital de la capitale autrichienne. Jusqu'au 1er mars, grâce à des machines sophistiquées qui fabriquent, en ronflant, de l'air pur et un peu de sursis, elle avait pu rédiger un journal intime. Il sort au moment où elle s'éclipse.
Ces « Derniers Fragments d'un long voyage », Christiane Singer avait commencé à les griffonner en août 2006 sur des cahiers d'écolier, lorsqu'un médecin lui annonça qu'il ne lui restait plus que six mois à vivre. Le temps, pensa-t-elle aussitôt, de finir cet ultime livre qu'elle compare au radeau du naufragé. Elle y tient le registre de sa maladie incurable ; on y lit le traité d'une battante qui ne veut pas abandonner aux chirurgiens la tumeur qui la ronge, mais l'affronter seule, et en face. Elle y enregistre l'inéluctable et irrépressible avancée du mal ; on y découvre la force incroyable d'une femme dont la ferveur rappelle celle de Simone Weil, et qui résiste à la tête de son armée - un mari, des fils, des amis et les livres, ses alliés substantiels. Plus la foi en Dieu. Une foi œcuménique, nourrie de christianisme, mais également de judaïsme, d'islam, de bouddhisme, d'hindouisme et de soufisme.

Jamais, malgré son «ventre calciné» et ses «lombaires déchiquetées», elle ne se plaint des souffrances qu'elle endure. Jamais elle ne se prend en pitié. Jamais elle ne se regrette. Au contraire, dans ce tombeau à ciel ouvert, elle rend grâce à la vie qui lui a donné d'être aimée et de connaître la passion. La vie qui a offert à cette universitaire française, née à Marseille d'un père juif hongrois, le privilège d'habiter le château médiéval de Rastenberg, au cœur de la forêt autrichienne, où pendant trente ans la romancière en exil a dialogué avec saint Jean de la Croix, Héloïse, Abélard, Louise Labé, François Villon, Marguerite de Navarre, Jeanne Guyon ou Maître Eckart. Cet adieu n'est pas une rupture, il prolonge toute son oeuvre, où les sentiments sont élevés et brûlants, dont les personnages rêvent d'absolu et parfois l'atteignent. Christiane Singer continue ici de cultiver le don qu'elle disait avoir reçu à la naissance : celui de tout magnifier. Parce qu'elle avait été une enfant de l'après-guerre, elle ne s'était jamais habituée à être vivante, elle s'en émerveillait, n'en finissait pas d'exprimer sa gratitude. A l'hôpital des Frères de la Miséricorde où elle refusait d'abdiquer, elle lut les enseignements zen de Backer Roshi, les lettres de Paul Celan, des poèmes arabes, les dialogues de Platon, les aphorismes d'Aristote et « le Livre des morts. » Elle pensa même appeler son livre « Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage », avant de se raviser : «Je sais que j'ai toujours exagéré.» Mais exagère-t-elle vraiment lorsqu'elle élève l'acceptation de mourir à la hauteur de l'allégresse de vivre ?

Le 20 décembre dernier, elle rédigea, en français et en allemand, son épitaphe : «J'ai tant aimé ce monde où habite Ta gloire.» Ce dernier livre prouve qu'elle l'a aimé à en mourir.

« Derniers Fragments d'un long voyage », par Christiane Singer, Albin Michel, 140p., 12euros.  Jérôme Garcin Le Nouvel Observateur - 2214 - 12/04/2007

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Christiane Singer, dernier voyage ... !

25 février 2007

"Écoutes-moi berger, protecteur du bétail !

"Écoutes-moi berger, protecteur du bétail !

La délicieuse saveur sirupeuse du sucre

Ne peut être expérimentée par le simple fait d'en entendre parler.

Bien qu'une certaine compréhension (de sa délicatesse)

apparaisse en l'esprit,

Celui-ci ne peut en faire l'expérience,

Seule la langue peut en éprouver le goût. MILAREPA Milarepa

De la même manière, la nature de l'esprit

Ne peut être perçue par le simple fait d'y avoir été

introduit par quelqu'un d'autre.

Mais en s'appuyant sur ce simple aperçu,

Si l'on s'efforce (d'approfondir la compréhension)

de ce qu'est véritablement l'esprit,

On en obtiendra la conviction.

C'est ainsi, protecteur du bétail, qu'il faut observer l'esprit."

23 février 2007

Un certain aspect des " choses" !

22 novembre 2006

L’importance de la compréhension profonde texte

                                                          L’importance de la compréhension profonde

texte de Geshé Thupten Jinpa*

La compréhension profonde est la clef de la libération. Pour un bouddhiste, une vie religieuse est une vie passée a rechercher l'éveil total. Puisque notre état de «sommeil» s'enracine dans une méconnaissance fondamentale de la nature du soi et de la réalité, il est crucial, pour s'éveiller, de réaliser quelle est cette nature. Mais la connaissance seule ne suffit pas, la compréhension «du mode d'être des choses» doit devenir une partie intégrale de notre vie quotidienne. En d'autres termes, elle doit être profonde au point d’affecter la totalité de notre être. Cette «connaissance intégrée» est appelée sagesse, sagesse qui ne peut naître qu'au sein d'un esprit véritablement en paix.
Dans le jargon bouddhiste, nous parlons d'un état qui est «la conjonction de la tranquillité qui demeure (s_amatha) et de la vue pénétrante (vipas_yana)». Ces deux aspects de la voie contemplative bouddhiste sont appelés «méditation analytique» et «méditation contemplative». Dans la deuxième l'esprit se mêle à l'objet de la méditation, dans la première il sonde la nature profonde de l'objet. Un pratiquant authentique doit arriver à réunir ces deux aspects dans un seul et même moment de cognition.

Quelle est la nature exacte de la compréhension profonde «du mode d'être des choses» ? Dans l'Inde ancienne, quatre écoles philosophiques principales se sont développées pour répondre à cette question.

· L'école vaibhasika nie effectivement l'existence d'un « soi » permanent et immuable, mais admet celle d'une réalité qui prendrait la forme d'unités indivisibles appelées dharmas. 

· L'école sautrantika rejette cette vue pour concevoir la réalité en termes d'atomes et d'unités de temps objectifs et indivisibles.

· Les adeptes de l'école cittamatra réfutent toute vue qui attribue un fondement objectif au monde matériel et soutiennent que seul l'esprit possède une réalité ultime.

·          Le madhyamaka considère tout ce qui précède comme de simples postulats, postulats que cette école rejette car, selon le madhyamaka, soutenir de telles vues reviendrait à réifier une chose qui, en réalité, n'existe pas. Pour cette école, la vacuité est la nature véritable de tous les objets et de tous les événements - en d'autres termes, aucun objet ou événement ne possède une existence ou une identité intrinsèque. La vacuité est la vérité, la réalité ultime et le statut final de toute chose.

*Thupten Jinpa est, depuis 1986, le principal interprète de Sa Sainteté le XIVe Dalaï-lama en philosophie, religion et science

***

Pour aller plus loin :

Madhyamaka ou "Voie du Milieu" : école du Mahayâna fondée par Nagarjuna (II-IIIe siècle apr. J.-C.). Elle insiste particulièrement sur la notion de vacuité (shunyatâ) qui jouera un rôle déterminant dans la naissance du Chan/Zen et du Vajrayâna. Pour cette école, la vacuité est la nature véritable de tous les objets et de tous les événements - en d'autres termes, aucun objet ou événement ne possède une existence ou une identité intrinsèque. La vacuité est la vérité, la réalité ultime et le statut final de toute chose. La compréhension authentique de cette vacuité profonde ouvre la porte vers l'éveil et la libération spirituelle..Les principaux maitres de cette ligne de pensée furent Nagarjuna (qui fonda l'école madhyamaka au Iie siècle), son disciple principal, Aryadéva, Chandrakirti (qui fonda, au Vie siècle, l'école prasangika, une subdivision du madhyamaka) et Shantidéva (auteur de La Marche vers l'éveil).

Le Madhyamaka est le chemin du milieu, parce qu'il se tient entre deux opinions extrêmes, que les choses sont ou ne sont pas. Il n'établit pas de système d'affirmation ou de négation, mais se livre seulement à une critique dissolvante des connaissances mondaines illusoires. Ces connaissances ont lieu par l'effet de l'ignorance. Cette ignorance est celle de la vacuité réelle. Elle occasionne la production d'une vérité d'enveloppement, les apparences phénoménales, par-dessus la vérité absolue. La vacuité n'est que l'irréalité de fondement des apparences phénoménales, non le néant universel, non pas même l'irréalité des apparences en tant que telles. La vacuité d'être propre des choses implique la vacuité de leur déroulement. La production en consécution des conditions de la douleur n'existe donc que comme fait d'apparence. La causalité n'existe pas en réalité absolue.

Nagarjuna résume sa doctrine en une série de huit " non " : non-arrêt, non-production, non-cessation, non-persistance, non-unité, non-pluralité, non-venue, non-départ. Ces huit non expriment le rejet de quatre couples d'affirmations contraires concernant les choses constitutives de la réalité d'apparence. Le
 Madhyamaka est à l'origine d'un grand développement de la dialectique dans les écoles bouddhiques. Il utilise principalement deux méthodes critiques. L'une est d'ordre ontologique. L'être propre n'est pas dans les choses. Est donc vide toute thèse établie à propos de choses vides par une pensée relevant du monde vide. La thèse même du vide, pour négative qu'elle soit, tombe sous le coup de cette critique et c'est pourquoi le Madhyamaka évite la négation comme l'affirmation.

Son autre méthode critique la plus abondamment maniée est la réduction à l'absurde (prasanga). Poussant dans ses conséquences ultimes, en fonction de l'axiome ontologique ci-dessus, la proposition d'un adversaire, il en montre l'absurdité. Par exemple : admettons avec l'adversaire que l'acte existe en soi ; il serait éternel (axiome de l'ontologie) ; mais un acte éternel n'a pas à recevoir d'accomplissement ; on ne pourrait donc imputer à un agent un acte accompli. L'importance donnée à l'emploi de la dialectique de la réduction à l'absurde a amené la distinction d'une école, dite des Prasangika, fondée par Buddhapalita et illustrée par Candrakirti. Elle a entraîné, en réaction, l'apparition des Svatantrika, avec Bhavaviveka, qui, recourant à une logique positive aussi, s'efforcent d'établir des inférences autonomes (svatantranumana ), indépendantes des propositions adoptées par les autres.

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